Je trône dans l'azur comme un sphinx incompris;
J'unis un coeur de neige à la blancheur des cygnes;
Je hais le mouvement qui déplace les lignes,
Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris.
Fleurs du mal. Charles Baudelaire
Todos corren hacia la belleza,
nunca la alcazarán,
altiva escapa de sus dedos
perdiéndose en el tiempo.
16 enero, 2006
Suscribirse a:
Comentarios de la entrada (Atom)
No hay comentarios.:
Publicar un comentario